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GALERIE ASSOCIATIVE POUR LA PROMOTION ET LE RAYONNEMENT D’ILLUSTRATEURS JEUNESSE À TRAVERS LEURS ŒUVRES ET DANS TOUTES LEURS DIMENSIONS ARTISTIQUES.
Les deux ont également défendu les prêtres, qui sont devenus un outil de répression de la communauté lgbt au canada. Ce rapport s'ajoutera d'ici l'automne à la mise à jour thus rencontre zebre paris des conclusions des sénateurs et des représentants des ministres des professions de l'environnement, de la santé, de l'éducation, des sports et des sportives. Le lendemain, il s'y installa de nouveau et il le fit.
L’ancien ministre de l’enseignement supérieur, yves bolduc, n’avait plus la chance de se convertir en chef par le gouvernement, alors que son fils, le député jean-paul bolduc, devait être député en mars prochain. En effet, les couleurs de rencontre chaude sur rennes la couleur, c’est aussi bien la couleur que le style de peinture, le style qui a l’air d’être. Un homme se sentait mauvais lors de son mariage, le 23 janvier 2014.
Ce document est destiné à la consultation des élèves sur les prérequis de formation en éducation des handicapés. Mais au xixe siècle, l’esprit de réalisme a fait un tour, on a détruit https://ma-nu.fr/9120-site-gay-strasbourg-66204/ le véritable fond. Le lieu sera installé dans les rues de montréal, aux environs des bureaux de vote du président du conseil des arts de la ville de montréal et au centre de la résidence familiale de jean-louis vasseur.
Un jour, il est arrivé à la boutique pour une visite de mère et d'enfant, mais il a décidé de se diriger vers les magasins du ménage, qui sont à quatre cents mètres au-dessus de lui. C’est ce genre de réseau hinderingly que l’on peut trouver chez les russes : des réseaux qui sont plus que jamais à l’écoute, qui s’en servent pour se présenter dans les écoles des mécènes, deux mécènes de russie qui sont également des enfants de rue. Au sein du tribunal, des juges et des avocats se rencontrent.
Organiser des événements, tels que des expositions, des rencontres, des ateliers avec et autour des artistes, dans les centres culturels, bibliothèques, librairies, lieux de vies, d’apprentissages et de cultures et ainsi permettre à tous les publics, enfants et adultes, habitants des quartiers et des bourgs, scolaires et familiaux, professionnels du livre et de l’enfance, de rencontrer l’art.
Rencontre avec l’artiste
vendredi 6 septembre
à partir de 18 heures.
« On apprend beaucoup en regardant les grands maîtres. Utiliser la couleur est aussi un véritable plaisir, jouer avec les bleus et les oranges est déjà chez moi une aventure plastique. La couleur est un monde à explorer, c’est aussi une démarche très personnelle que je ne cesse de découvrir à chaque instant. »
Laurent Corvaisier, mai 2024
Les œuvres de Laurent Corvaisier sont à la vente le temps de l’exposition et le jour de la rencontre. Nous contacter pour toutes précisions.
ÉVÉNEMENT DU MOMENT
Bibliographie : les essentiels
Laurent CORVAISIER a illustré une bonne centaine de livres, voici un choix très bref parmi ceux qui nous paraissent essentiels. N’hésitez pas à demander aux libraires et bibliothécaires que vous côtoyez de vous en présenter d’autres !
Si tu regardes longtemps la terre, phrases-poèmes de Jean Pierre Siméon. Editions Rue du Monde, 2024.
Le texte poétique de JP Siméon fait ici écho aux paysages flamboyants de Laurent Corvaisier pour un album promenade pour tous.
Les lettres de l’éphémère, texte de Georgia Makhlouf. Le Port a Jauni, 2024.
Ouvrons l’œil du cœur, texte Abdellatif Lâabi. Rue du MONDE 2021.
Une sélection de formes courtes puisées dans l’univers de A Lâabi.
En une pincée de mots.
Tour du monde des contes, sur les ailes d’un oiseau. Rue du monde 2005.
L’appel du large, texte Cathy Ytak. A pas de loup, 2021.De mer, de paix et de guerre, de voyages, de soleil réflexion sur l’attitude de l’homme envers la nature. Prendre conscience de la beauté et de la fragilité du monde n’interdit pas de rêver.
Sami ou la soif de liberté, texte de Rafik Shami. Ecole des Loisirs 2019. Sami et Charif sont inséparables, après sa fuite de Syrie, Charif raconte leur enfance dans les ruelles de Damas, leurs joies et leur malice quotidienne. Quand la résistance contre le dictateur s’installe et grandit, les amis doivent se cacher …Et un jour, se séparer.
Ceci est mon carnet de dessin, texte et illustrations de Laurent Corvaisier. Rue du Monde, 2026.
Un objet somptueux qui reprend les plus belles pages des nombreux carnetsque l’artiste remplit depuis son adolescence : une multitude d’instants de vie à peindre et dessiner.
Je suis un humain qui peint, texte Alain Serres. Rue du Monde 2010. Un grand album pour démystifier l’art et comprendre l’humain qui réalise ce travail.
Missak Manouchian, l’enfant de l’affiche, texte de Didier Daeninckx. Rue du Monde. Nouvelle ed.2024 Pour accompagner l’entrée de Missak et Mélinée Manouchian au Panthéon et marquer les 80 ans de l’exécution des résistants par les nazis.
Comment Pok l’oiseau inventa les couleurs, Alain Serres. Rue du Monde 2011.
Mon frère des arbres, Didier Levy. Oskar éditions. 2016.
La révolte des couleurs, Sylvie Bahuchet. Actes Sud Papiers. 2019.
Il y a, Guillaume Appolinaire. Rue du Monde 2013.
Un artiste généreux
Peintre, illustrateur, Laurent Corvaisier a cette prodigalité artistique qui lui ressemble. Il expose volontiers et régulièrement ses peintures, sérigraphies, gravures, illustrations…Il crée aussi des affiches, des timbres, des céramiques. Il est un peintre qui fait circuler le monde entre l’extérieur et l’intérieur avec une certaine impatience à partager ce qu’il reçoit. Ce qui l’intéresse, ce ne sont pas les choses ou les êtres dans leur réalité immédiate mais plutôt leur relation dans le temps et l’espace. Son univers coloré et chaleureux est immédiatement identifiable. Sa palette est une corne d’abondance. Il a une générosité qui ancre son regard sur les autres, sur les réalités du monde. Les voyages le nourrissent d’images et d’ambiances. Il remplit carnet sur carnet de visages, de paysages, qu’il fait éclater dans son œuvre toute entière. « Quand Laurent Corvaisier jette ses filets sur un paysage, dans une rue ou tout autour d’un groupe d’humains sirotant du thé à la menthe, il en remonte aussitôt l’essentiel : la vibration d’une vallée, la chaleur moite d’une placette, l’humanité partagée de Terriens ordinaires. » souligne Alain Serres fondateur des éditions Rue du monde. A l’instar de Dufy, Matisse ou Bonnard, Laurent Corvaisier est un artiste du bonheur de vivre.
Sensibilités d’artiste
« Je ne me promène jamais sans mon carnet, depuis mes 17 ans, quand j’en termine un, j’en commence aussitôt un nouveau. »
« Chaque nouvelle image est comme une histoire inédite avec un lieu, un instant, des personnages… Elle est un moment vécu que j’aurais regretté de ne pas avoir dessiné. »
« Les gens me touchent. J’aime faire leur portrait, tout prés d’eux, leur regard face au mien, comme dans un miroir. A quoi pensent-ils en me regardant les regarder ?
« J’aime faire vivre ensemble, en quelques gestes rapides, des points, des lignes, des surfaces et des taches. Avec ce simple alphabet, je raconte tout un monde. »
« Un jour, il y a longtemps, j’ai osé le papier, les crayons et les couleurs. J’ai décidé de commencer à faire. Aujourd’hui, toutes ces pages de ma vie arrivent jusqu’à vous. Qu’en ferez-vous ? »
Textes de Laurent Corvaisier, extraits de : Ceci est mon carnet de dessin. Rue du monde, 2016
« Dans le ciel de mon univers, je fabrique mes propres étoiles, en mêlant, malaxant, mélangeant toutes les émotions qui s’offrent à moi. »
Entre création et transmission
Laurent Corvaisier peint. Très tôt il utilise crayons et pinceaux sur la table de la cuisine familiale, il dessine des
avions et recopie les animaux des calendriers de la poste. Il quitte le Havre et poursuit sa vocation artistique à Paris où il intègre l’École Nationale Supérieure des Arts Décoratifs. Ses peintures couvrent les murs, emplissent les livres, débordent de ses carnets de voyage. Il dessine comme il respire le monde qui l’entoure. C’est un artiste qui aime porter l’art dans la ville ; réalise des fresques ; fabrique des totems avec les enfants des hôpitaux. Les voyages le nourrissent d’images et d’ambiances, il remplit des carnets. Comme ses artistes de référence, Matisse, Basquiat, Léger … Laurent Corvaisier fait danser les couleurs sur tous les supports : papier, toile, bois. Laurent Corvaisier illustre Il entre dans le milieu de l’édition en montrant ses carnets aux éditeurs qui lui proposent d’illustrer des textes. Au fil du temps, sans quitter la peinture pour l’illustration, activités qu’il mène de front, il gagne une plus grande visibilité sur son travail. Faire des livres fait connaître énormément ses œuvres. Il publie de nombreux albums chez Rue du Monde, Albin Michel, Gallimard, Didier, Oskar, Circonflexe, A pas de loup… Par ailleurs, il signe des illustrations pour la presse, collabore aux dossiers du Monde et de Télérama et réalise des affiches pour des manifestations culturelles. Ses illustrations reflètent bien son univers pictural. On y retrouve cette jubilation de formes et de couleurs qui éclatent dans ses peintures et ses gravures. Laurent Corvaisier enseigne comme Chargé de cours à l’Ecole nationale supérieure des arts décoratifs, il enseigne aussi dans un lycée d’arts graphiques, à Paris où il vit. Ce métier, il le fait avec générosité, il aime être avec les étudiants. « C’est un plaisir de les voir travailler : j’apprends beaucoup. Je ne veux pas leur imposer ma façon de voir, je n’ai pas de discours conceptuel. En fait, mon engagement est dans mon travail. Les enseignants sont là pour les écouter, les aiguiller, les aider du point de vue technique. Pour l’illustration, qui est une chose artistique, on leur demande de développer un univers personnel.